Le Nouvel Automobiliste
Citroen C4 155 ch thibaut Dumoulin

Essai Citroën C4 PureTech 155 : nouveauté non-genrée

Citroen C4 155 ch thibaut Dumoulin

« Enfin ! » diront certains, la nouvelle Citroën C4 succède au C4 Cactus, devenu « la » C4 Cactus, sorte de crossover ayant muté en berline d’un coup de baguette magique. Après le changement de genre, place au mélange des genres avec la nouvelle Citroën C4 ! Si beaucoup attendaient impatiemment le retour d’une vraie berline compacte dans la gamme, Citroën les a entendus mais n’a pas renoncé à l’originalité stylistique. Doux euphémisme pour dire qu’il en fait une caractéristique prédominante, au risque de surprendre voire de déplaire.

Succéder à la C4 Cactus aurait pu être aisé, celle-ci n’ayant pas brillé par sa carrière commerciale ni par ses prestations en retrait par rapport aux vraies compactes et ténors de la catégorie, Volkswagen Golf, Peugeot 308 et Renault Mégane notamment. Mais la marque aux chevrons préfère le risque et l’originalité en présentant un modèle hybride… en termes de style. Est-ce pour mieux attirer l’attention sur cette C4 et se démarquer ? Cette stratégie s’accompagne-t-elle d’une mise à niveau suffisante par rapport à son segment ? On vérifie tout cela à son volant.

Nouvelle Citroën C4 : l’anticonformiste (ou le C entre deux chaises)

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Autrefois fleuron de l’industrie française, précurseur, innovateur, Citroën reprend des couleurs et s’affirme de plus en plus. Et cette singularité parvient à son paroxysme sur sa nouvelle berline compacte. Attributs de SUV, silhouette de coupé, la C4 ne rentre pas dans le rang, qu’on se le dise. On le lit dans vos commentaires depuis la présentation du modèle, certains détestent, d’autres aiment beaucoup. Le design est indéniablement clivant et, si on laisse à chacun sa libre appréciation de ce look particulier, on vous présente dans le détail les éléments du design qui font que la nouvelle Citroën C4 se distingue autant sur son segment.

D’une longueur de 4,36 m, soit grosso-modo la longueur d’une Seat Leon, la C4 est dans la moyenne haute de ses rivales. Seulement, avec une hauteur de 1,52 m, elle les dépasse de quelques centimètres et sa garde au sol de 15,6 cm est située quelques 3 cm plus haut que la normale. Quelques centimètres qui font toute la différence, puisque la C4 semble plus trapue, à la fois fluide mais ouvragée, sophistiquée mais un peu brute, profilée mais massive. La ligne de toit est très fuyante et surplombe une surface vitrée semblant ininterrompue du pare-brise (aux montants noir mat) jusqu’à l’aileron arrière noir laqué dans la continuité d’une fine custode. Les lignes sont globalement douces, sans arêtes nettes, ce qui contribue à la fluidité du profil.

Mais voilà, plus bas, se greffent des passages de roues marqués et doublés d’une protection noire. Celle-ci court aussi le long des bas de caisse et sous les jupes avant et arrière et ceinture le véhicule en lui donnant un air baroudeur. L’avant, large, tout à l’horizontal, avec son capot creusé de chaque côté comme sur un C5 Aircross, passe encore pour celui d’une berline compacte traditionnelle. Mais l’arrière, avec son pare-chocs proéminent et ses gros feux étirant la silhouette en hauteur, donne vraiment l’impression d’avoir affaire à un SUV. La superposition du bandeau noir laqué reliant les feux et du spoiler contribue à cette impression de verticalité. Malgré les fausses écopes latérales et la jupe inférieure à la finition noire laquée intégrant deux sorties d’échappement et le feu antibrouillard, l’ensemble est mastoc.

Berline compacte mais pas trop, la Citroën C4 ne rentre pas dans une case précise. On retiendra qu’elle s’inspire de différents univers et que le résultat affiche une certaine cohérence et de bonnes proportions. En rentrant dans le détail, on apprécie en tout cas l’effort des designers pour soigner le look. Les grilles de calandres arborent un motif rappelant les chevrons, les optiques évoquent la GS par leur forme, en intégrant la nouvelle signature lumineuse en V (ou plutôt en > <) et une technologie LED aussi belle qu’efficace, le capot est travaillé, des écopes verticales allègent l’arrière, déjà chargé avec les gros feux en deux parties avec signature lumineuse en chevrons.

Quant aux rétroviseurs, ils arborent un dessin inédit. Il s’agit du nouveau module, amené à se répandre sur les futurs modèle de PSA. Offrant une meilleure protection aux chocs, ils sont plus effilés pour améliorer l’aérodynamisme et le répétiteur de clignotant s’élance à la verticale pour un résultat original. Malgré tout cela, Citroën a oublié un seul détail : l’antenne radio à l’ancienne, quand une antenne façon aileron de requin aurait largement mieux collé au style moderne de l’ensemble.

Côté personnalisation, 7 teintes de carrosserie sont disponibles, dont le nouveau Brun Caramel présenté (couleur gratuite !) et 5 packs de couleurs pour les ponctuels, ainsi que des selleries à ton gris, noir, rouge ou bleu.

A bord de la nouvelle Citroën C4 : elle (sur)élève le niveau

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Les premières photos partagées par le constructeur mettaient en évidence un dessin du tableau de bord complètement dans l’ère du temps, à la fois moderne, distinctif et relativement épuré. Epuré, mais pas dépouillé comme l’était celui de la C4 Cactus. Nous l’attendions au tournant au chapitre qualitatif. Et nous pouvons vous rassurer : si la qualité des matériaux n’est pas au niveau des meilleurs de la catégorie (au hasard une Mazda3 par exemple), elle est toutefois honorable et, comme pour l’extérieur, le design et l’originalité compensent largement l’absence de plastiques moussés.

Agréable à regarder (à part peut-être le revêtement de la planche de bord à la base du pare-brise, en plastique brillant), pas désagréable au toucher, les éléments de cet habitacle traduisent une fois encore la liberté donnée aux designers intérieurs. Les aérateurs latéraux semblent évoquer de feux de Citroën GSA (une coïncidence ?), les molettes de climatisation et de volume sonore bénéficient d’une finition léchée et arborent le motif du chevron, la partie supérieure de la planche de bord adopte un motif évoquant là encore le logo Citroën dans un matériau souple, l’aspect général et l’aménagement dégagent une sensation de modernité sans sombrer dans l’austérité ni dans l’opulence de mauvais goût… Bref, on aime !

En parlant de la planche de bord, la C4 introduit un support inédit de tablette, le Smart Pad Support, situé au-dessus de la boîte à gants et d’un rangement dédié à cet appareil électronique (non-fourni, cela va de soi). N’ayant jamais compris l’usage des tablettes ni jamais vu qui que ce soit en utiliser une en voiture, je m’interroge franchement sur l’utilité et l’innovation de cet équipement. Mais au moins, on a droit à un peu de nouveauté dans l’aménagement intérieur, c’est assez rare pour être souligné, nouveauté qui plus est dédiée au passager avant, encore plus remarquable ! On notera qu’à cet endroit de la planche de bord, le plastique employé est quelconque, mais semble plus robuste que ce qu’on peut trouver sur une C3 ou une C4 Cactus.

Autre nouveauté introduite sur cette nouvelle Citroën C4, le volant à trois branches dont une grosse branche en plastique noir laqué (pas pratique car elle réduit la surface de préhension), avec de nouvelles commandes dont on vous parlera dans la partie « conduite ». Devant lui (ou derrière selon l’angle abordé) se trouve l’ordinateur de bord, d’une taille de 5 pouces. C’est petit, oui. En conséquence (ou cause, on ne le sait pas), l’affichage est minimaliste et si on trouve bien un compte-tours (ce qui n’était pas le cas sur le C4 Cactus), celui-ci est quasiment illisible. Citroën nous explique qu’outre la recherche de simplicité, cet écran n’était de toute façon qu’un complément à l’affichage tête haute.

La taille de l’écran central tactile joliment asymétrique est deux fois plus grande que celle de l’ordinateur de bord. Mais malgré ses 10 pouces de diagonale, il est virtuellement amputé par la présence de deux grosses bandes pour les réglages de climatisation… qui viennent en sus des commandes physiques. Était-il nécessaire de rogner sur une grande partie de l’écran ? On ne le pense pas. En tout cas, le revêtement mat de ces deux compteurs garantissent une lisibilité optimale même quand le soleil s’y reflète directement.

Ce qui importera sans doute plus pour la clientèle Citroën que la taille des écrans, c’est le confort et l’espace à bord. Dès l’entrée de gamme, la mousse des sièges est plus de deux fois plus épaisse que celle des concurrents. Avec les sièges Advanced Comfort, c’est 7 fois plus épais ! Quant au selleries cuir, elles bénéficient d’une couche supplémentaire pour compenser la moindre élasticité de ce matériau. Mais les chiffres ne font pas tout et nous avons quand-même eu l’impression que ces sièges étaient un peu moins moelleux que ceux d’un C4 Cactus à sellerie Advanced Comfort tout en tissu, qui était toutefois une référence en la matière.

Quoi qu’il en soit, cette nouvelle mouture creuse l’écart avec n’importe laquelle de ses concurrentes. Même topo à l’arrière, où la garde au toit est suffisante pour un individu d’1,75 m, même à la place centrale, sans doute plus problématique que delà de 1,85 m. L’espace aux jambes, grâce au généreux empattement de 267 cm, est le plus généreux de sa catégorie. Le coffre, bien accessible grâce au hayon incliné mais au seuil de chargement assez haut, accueille 380 litres de bagages, soit la même valeur que la Seat Leon. Son plancher peut être surélevé de façon à obtenir un plancher plat lorsque la banquette arrière est rabattue.

Essai Citroën C4 : les dessous cheap

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Une fois n’est pas coutume, la Citroën C4 repose sur la plateforme de la Peugeot 208 rallongée. Un choix technique guidé par la volonté de proposer un dérivé électrique, ce qui n’était possible qu’avec une plateforme existante, la CMP. Un choix similaire à celui de Skoda pour sa Scala sur plateforme de VW Polo. Rappelons que le C4 Cactus reposait lui aussi sur une base de citadine (pour des raisons de coûts et parce que produit dans l’usine PSA de Madrid, où il succédait à la 207 CC déjà construite sur plateforme PF1 ; c’est dans la même usine de Villaverde qu’est aujourd’hui produite la nouvelle C4). Pour autant, la C4 n’est pas mécaniquement au rabais et accueille les motorisations principales du groupe, à savoir les diesel BlueHDi 110 et 130 ch et les essence PureTech de 110, 130 ch et même 155 ch, version que nous avons essayée.

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Dès le premier dos d’âne, soit lors des 30 premières secondes de conduite puisque nos routes en sont constellées, on se rend compte à qui on a affaire. Absorbé, presque englouti par les amortisseurs à double butées hydrauliques, et sans répercussion dans l’habitacle : celui-ci est comme effacé de la route. C’est le cas pour pas mal de grosses aspérités de la route, mais quand le rythme s’accélère et que les irrégularités se font plus petites et fourbes, c’est moins bluffant. Tant au niveau sonore que dans le siège, les vibrations se font ressentir, le pire étant les bandes de ralentissement. Cela dit, l’amortissement n’en est pas moins supérieur à ce que proposent ses concurrentes sur le même type d’obstacles. Et par rapport à celles-ci, on est assis haut : nous nous en rendant compte en devant baisser le regard pour toiser le conducteur d’une Peugeot 308 que nous étions en train de doubler. Le tableau de bord en hauteur atténue quelque peu cette sensation de dominer la route.

Conséquence du typage « confort », la Citroën C4 ne tient pas vraiment la dragée haute à ses rivales du côté dynamique. La direction, aussi agréable de douceur soit-elle (surtout en ville), et même si elle est asservie à la vitesse, est toujours un peu trop démultipliée et impose des corrections en virage quand le rythme s’accélère. Le roulis également présent incite lui aussi à garder un rythme raisonnable. Sur ces deux points, soulignons toutefois les progrès réalisés par rapport au C4 Cactus.

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Les 155 ch du moteur essence PureTech donnent à la Citroën C4 une belle aisance et des performances honorables, mais point de sportivité malgré son poids contenu de 1 300 kg. L’accélération est linéaire, et pourtant le 0 à 100 km/h est a priori abattu en moins de 9 secondes (en cours d’homologation ; 9,4 s pour le PureTech 130 EAT8). La boîte automatique 8 vitesses est discrète et colle bien avec le caractère de l’auto. On peut à la demande utiliser les palettes au volant en appuyant au préalable sur le minuscule bouton M à côté du sélecteur de vitesse. Ces palettes ne semblent pas aussi fragiles que celles du C5 Aircross et présentent mieux. Mais il semble que pour repasser en tout automatique, on soit encore obligé de passer par le peu pratique et minuscule bouton M.

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A gauche, deux boutons, P pour parking, M pour manuel ; au centre, le sélecteur de vitesse (arrière, neutre ou drive) ; à droite, le sélecteur de mode de conduite (éco, normal ou sport)

Le freinage, lui aussi, nous invite à apprécier la C4 pour son confort plus que pour ses performances. Il ne faut pas hésiter à taper dedans pour obtenir la décélération nécessaire à rythme soutenu. De toute façon, en mode sport, le bruit du moteur, même bien contenu, vient un peu gâcher la fête. Il est tellement plus agréable de se laisser bercer en mode normal et de profiter de l’excellente insonorisation ! Tout juste entend-on un léger sifflement au niveau des rétroviseurs. Que ce soit au niveau des roulements et de l’aérodynamique, le silence est remarquable et pourrait atteindre l’excellence avec un vitrage feuilleté. Outre le mode sport, qui libère toute la puissance à l’accélération et change de vitesse à plus haut régime, un mode éco permet d’économiser du carburant. Mais alors il faut appuyer plus franchement sur l’accélérateur ne serait-ce que pour maintenir sa vitesse, qui décroît sinon.

La parade, activer le Highway Driver Assist, soit le régulateur de vitesse adaptatif avec aide au maintien dans la voie et fonction Stop & Go (actif jusqu’à l’arrêt et redémarrage automatique). La C4 se conduit alors toute seule (sans les pieds et pour ainsi dire sans les mains, même si la loi nous oblige à les garder sur le volant) et maintient sa vitesse et son cap. Cette technologie est convaincante mais l’accélération pour regagner sa vitesse n’est pas assez franche. On avait beaucoup à dire sur la conduite… et pourtant nous n’avons pas fini !

On conclut simplement sur la rétrovision, dont on pouvait douter de la qualité au vu de l’étroitesse de la custode et surtout de la présence du becquet devant une lunette déjà très inclinée. Eh bien pas de souci à se niveau là, en roulant comme en manœuvre, la vision est suffisamment dégagée (le becquet masque la vue au niveau des phares du véhicule suivant), et les passagers arrière ont même suffisamment de lumière !

Equipements de la Citroën C4 2021 : l’aube d’une renaissance

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La Citroën C4, dont la première génération contemporaine faisait même de l’ombre au haut-de-gamme C6, a retrouvé son aura technologique en adoptant pas moins de 20 aides à la conduite (ADAS pour les intimes), dont la conduite semi-autonome décrite plus haut, la surveillance des angles morts active, la commutation automatique des feux de route, le stationnement semi-automatique… En somme, toute la panoplie des technologies présentes chez ses concurrentes.

Au sommet de la gamme C4, notre modèle d’essai en version Shine Pack disposait de tous ces équipements ainsi que des raffinements ultimes : 2 prises USB au rang 2 (1 type C + 1 type A), la sellerie en cuir et simili-cuir noir sur sièges Advanced Comfort, le système HiFi, la recharge sans fil pour smartphone, là encore au revêtement stylisé d’après les chevrons, les sièges avant chauffants et les surtapis avant et arrière. Pour avoir un modèle « full options », le notre recevait également en options le toit vitré ouvrant, le volant chauffant et l’assistance au stationnement à 360°. A noter, les jantes de 18 pouces peuvent être choisies en finition diamantées comme sur le véhicule présenté, ou en finition sombre.

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Sans aller jusqu’à une Shine Pack, vous aurez avec une Shine un modèle déjà ultra-équipé puisqu’il dispose d’office des 3 packs d’équipement quasiment complets : le Pack Drive Assist (Aide au stationnement avant et latéral, commutation automatique des feux de route, régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop & Go, système de surveillance d’angle mort), le Pack Safety 2 (Active Safety Brake 2.0, reconnaissance étendue des panneaux et recommandation de vitesse) et le Pack Style (jonc chromé sur les lécheurs de vitres latérales, vitres et lunette arrière surteintées, volant cuir). Et en prime, l’entrée et le démarrage mains libres ! Généreuse, cette C4 !

Prix nouvelle Citroën C4 : caisse surélevée, prix au rabais

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La nouvelle Citroën C4 s’affiche à partir de 20 900 €
Modèle essayé : Citroën C4 PureTech 155 ch EAT-8 Shine Pack à 31 750 € (+ malus de 230 euros) hors options soit 33 150 € incluant les options suivantes :

  • Volant chauffant à 150 €
  • Toit ouvrant vitré à 900 €
  • Park Assist 360° à 350 €

Concurrence
Dans la catégorie berline compacte de 155 ch je demande… l’espagnole, la Seat Leon ! Disponible en pure thermique de 150 ch, nous la comparons toutefois à notre C4 dans sa version eTSi micro-hybride car seule celle-ci reçoit la boîte DSG7. Il faut compter 35 400 euros pour cette dernière à équipement équivalent. En provenance d’Outre-Atlantique (ou plutôt Outre-Rhin où elle est produite), la Ford Focus Active Vignale est elle aussi rehaussée, bardée de protections et blindée d’équipements. Elle s’échange en version 2.0 EcoBoost 150 ch BVA8 à 35 250 €. Bien joué une fois de plus pour la C4. Et puisque vous êtes nombreux à comparer cette Citroën au Toyota C-HR, celui-ci s’affiche à peu près au même prix par le jeu des remises et aides de l’état, mais avec une motorisation hybride de 122ch.


Il n’y a pas que par sa hauteur que la nouvelle Citroën C4 a les moyens de faire de l’ombre à ses rivales ! Elle ne les ridiculisera pas en termes de performances ou de qualité perçue…mais au moins, elle saura s’en distinguer par son look jouant avec les codes de différents segments et par son très bon rapport équipement / prix. Sans verser dans la caricature de la berline à suspensions chewing-gum, elle satisfera d’ailleurs les clients à la recherche de confort, pour qui les passagers comptent autant voire plus que le conducteur. A condition que ceux-ci aiment son style clivant. En tout cas, une chose est sure avec ce nouveau modèle : design osé, technologie et confort, Citroën est de retour et l’affirme !

Galerie Photos Citroën C4

Crédit photo Thibaut Dumoulin / Le Nouvel Automobiliste

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